jeudi 6 août 2009

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Je vois dans la salle comme une morgue un/e enfant dans un tiroir couchette. ilL semble dormir.
Tout est silencieux.
Je dépose un baiser sur le front de sa tête rasée. Je me réveille au moment où ils l'enfoncent dans le mur aux archives.
Sous mon thorax, dans mon ventre, mes organes sont noirs et mélangés.
Depuis combien de temps n'avais-je pas vécu cette sensation?

~

Ca va aller
Tu verras sans image
Tu entendras sans son
Peut-être un jour
Me permettras-tu
De sentir
Le Sourire de ta vie

~

J'ai trois ans et un peu de temps pour moi :)
Pas à pas ~y
Pas là pas là là...
Personne ne sait demain
Si c'est pas moi, ce sera un autre
sLv

mercredi 5 août 2009

Sous le vent






J'ai rien à prouver. J'ai appris de mes réussites,
aussi bien que de mes échecs. Mes amis voudraient que je me réveille, que je travaille à une intégration sociale, que je vive mieux, que je prouve aux autres, qu'ils soient fiers, patati patata. Je sais que je peux le faire, alors quelle importance ?
Je le fais quand j'ai faim.
Parce que cautionner une société par la fabrication et la consommation d'objets qui ne sont pas sans âme, j'ai beaucoup de mal.
Des objets absurdes dont la durée de vie est de plus en plus courte.
Des objets fabriqués dans la souffrance du monde, pour satisfaire une population angoissée axée sur sa peur de ne pas trouver sa distraction du lendemain.
Ces futilités qui atteignent des sommets de cruautés pour la vie de notre planète.
L'île de Pâques, c'était juste une île.
Qu'est-ce qu'il faut te gueuler de plus dans les oreilles ?
Tu achètes parce que c'est fabriqué chez pas cher.
Tu n'es qu'un gros bourgeois nanti et sans cervelle. C'est toi qui vaut pas cher. Qui te gave de superficiel et t'étonne ensuite de ta vie tronçonnée où plus rien, plus aucun geste de ta part n'a de sens, où ton nombril hypertrophié se promène noir et visqueux dans tes veines devenues plomb acide à pourrir tout demain.
Tu passes la majeure partie de ta vie sans réfléchir, parce que l'on t'a foutu une étiquette de productif une bonne fois pour toute et que c'est sans négociation possible. Tu prends ton fric et tu continues à pas réfléchir. Où tu me tues, par exemple, c'est quand je te vois partir pour des pays où tu vas paraitre encore plus riche, où tu vas te croire un surhomme parce que tu as pris l'avion et son kérosène de fou. Tu vas y rester une semaine pour voir comment que c'est bien les gens comme y vivent la-bas. Tu n'y apprendras rien. Tu vas prendre des gens en photo que tu n'oses pas ici parce que tu n'en as pas le courage. Tu sais quoi ? Tu vas même me les montrer avec ta bite d'enculeur en avant. Tu vas être content de toi parce que tu auras aidé à ta manière économique quelques êtres dans lesquels tu auras planté encore un peu plus les graines à rêver d'un monde "facile", de "bonne" santé, d'un "bonheur" matériel auquel ils n'auront jamais accès.

Et Leurs Esprits sont remplacés par des lumières froides
qui les font crever à tes pieds.


Parce que toi, ça fait longtemps que tu n'en as plus.
Juste un trou noir aspiro-broyeur de toutes vies.
Deviens-le pour de bon alors.
Va au bout de ton chemin
Et rongo~rongo Petit Lambda !
Reviens en humain
Tu y verras ton jardin d'ici
sLv
Hugh !
~y !
:)
.

mardi 4 août 2009

Derviche


Regarde comme je tourne

Vois ces tchips voler dans le noir et les étoiles
Ces rêves de poussières qui ne reviendront pas
Où ces mots que tu n'auras pas dit
Ne seront d'aucun retour

Regarde comme je danse ~y !

Vois ces parties de moi
Ces miroirs où je ne suis plus
Ces miroirs tendus à tes délires
Traces aux mille éveils

Regarde comme je sais disparaitre

~


Fleur ne sauroy faire oublier, que fol gesticulion un fusil

.________________ _________ ______________.

Lapsus



J'étais sur la plage, à espérer photographier le coucher du soleil quand ils sont arrivés, chacun les mains dans les poches. Au moment de s'interposer, il eut un geste stchroumpf. Je lui fis signe qu'ils pouvaient stchroumpfer là, que je pouvais les schtroumpfer dans l'appareil. Il prit sa compagne, sa femme, sa fille, sa soeur, qu'est-ce que j'en sais? par l'épaule. Elle ne savait pas refuser, elle ne s'est rien demandé. Son sourire à côté de ses yeux semblait juste dire que son désir des désirs de l'autre arrivait à sa fin.
Clic-clac, c'était dans la boite.
Il m'envoya alors un petit objet et me lança un au revoir joyeux. "Au revoir". Je répondis en regardant la courbe de la pièce que je choppais à hauteur de mon visage. C'est que je suis poli au poil près comme un con dans la vraie vie.
C'était une rondelle à 2 euro avec un aigle sur le dos.
Quand je relevais les yeux, ils étaient repartis par où ils étaient venus. La lumière de profil ne faisait déjà plus d'eux qu'une ombre étrange qui flottait au sol.
Je propulsais la pièce comme pour un ricochet. Elle se planta dans le coeur d'une vague où elle dansa jusqu'au sable. Enfin, j'imagine.
Y a pas trop de baleines dans le coin...

:))))) Pfffffuiii, ça fait du bien de rire un peu, quand on voit où ça va :)))

Je rentrais chez moi en ne prenant pas le chemin le plus court. Comme d'habitude.

J'ai eu un peu honte quand je suis passé près de Clop-Clop.
Les poches vides.
On s'en est quand même grillée une.
Pour le fun.

RDV



Il arriva dans la salle et posa sa sacoche sur la table lisse et brillante, ponctuée de ronds lumineux en provenance de petits satellites qui ordonnaient de baisser les yeux.

Si je lui faisais cette remarque, il aurait bien été foutu de les changer en supprimant la prime de quelques employés. Parce que tout y serait passé, les murs, les meubles, les rideaux... Faisait pas les choses à moitié, cet homme de conviction si sensible aux reflets du costume sur son teint.

Il avait analysé la situation sous tous ses aspects à lui. Comme d'habitude, c'était clair et pertinent. Les cadres rigides et inconscients étaient posés : il nous fallait maintenant trouver des réponses qui ne plieraient pas son optimiste sourire.
Question de bourse.

Il y avait là une telle force de travail, d'énergie, de volontés...
En aval aussi.

Tout le monde prit ses marques masques mimiques et tout le monde était de bonne humeur. Nous avions trois mois devant nous.
Trois mois pour trancher et gonfler les séquences du film.
Le mot du début et de la fin était simple et chic : c'était fric.

A la fin de la réunion, je lui expliquais pour les spots. L'architecture intérieure, j'aime bien, ça me fait réfléchir.

Livre haut



Il n'y a pas de ciel qui dure
Et tu les voudrais tous semblable à ce souvenir
Le numéro un
Le numéro deux
Le numéro trois
L'affaire est dans le sac pour un long voyage où tu te crois si bien armée

C'est en vrac, je suis en vrac aussi, je continuerai demain, sLv.
Avec un peu de "chance", j'y retrouverai des pommes :)))

lundi 3 août 2009

Tite caille



Heuuuuu....
Tu veux pas attendre encore un peu avant de faire cocorico partout ?

C'est toi qui sait.
Ton chemin semble ne pas être le mien

Il y avait tant de lumière en elle, en lui, en eux.
Ils ne semblaient pas voir, brandissaient mille voiles.
Qu'aurais-je pu ajouter?
Et comment ?

Tibrin




Ping !

Te revoilà sur ta branche d'en fer et bois
Descendue de la cage où tu courrais tel un hamster rendu fou
Et la sève que tu suivais prend la taille de ton chemin
Pour arriver là pas là là
Devant ce mur invisible qui ronfle de néant
Où juste bouger un cil
Pourrait rompre ta fragile extrémité

Ta peur devient comme une naine noire
Une boule atroce
Qu'il est peut-être bon de laisser là
Bouffant tes tripes
Secouant ton plexus luttant
L'aspirant en toutes porosités
En toutes lumières avalées

Qui pourrait se taire devant une vie
Qui pousse ce cri d'impossible
A fracasser toutes étoiles

Alors une fois encore
De l'univers et de son infinie bonté
Tu vas prendre dans le miroir
Monolithe de toi d'où tu ne saisis pas l'angle
Juste un fragment que tu veux croire neuf
D'où tu vas repartir comme tu es arrivée
D'où tu as cru renaitre
Dont je devine déjà les aboutissements
Dont tu voudrais que j'apprenne à parler singe

Combien crois-tu que j'en ai vu
De ces aller-retours stupides et grotesques
Où la manne qui s'y trouve ne sert à rien d'autre
Qu'à de faibles analogies auto-centrées
...Dans le meilleur des cas

Pong !

Ils étaient parfois si rapides
Que même les plus fous s'accordaient à dire
Qu'il y avait là une folie
Méritant un non savant

~

Peut-être as-tu assez souffert
Peut-être es-tu gavée de ces mille chimères
Lait paresseux prêt à vomir
Devenir pour cet instant
Cette fraction de Temps
Presque rien
Aussi bien Enfant de l'herbe
Où la Lumière reçue en ton oreille
Devient la chanson infinie de tes lèvres


Heuuuu, j'veux dire celles d'en haut :)

~Eric !

Grlgfjhgfghfgjfggf si on peut plus s'amuser un peu...

dimanche 2 août 2009

Perle à deux


Tu te tais
Tu as peur
Tu hésites de la branche pour un nouvel élan
Tu t'inquiètes de ces mots tachés entachés à ton paysage
Ces mots que l'on pourrait te reprocher
Pour qui pour quoi tu te prends pour qui ?
Responsable d'un pixel que tu n'as pas touché d'un cheveu
Responsable de tes mots posés sur le clavier
De leurs effacements dans la mémoire des autres
Petit zorro zéro de ta pensée sans tenue
C'est possible tu fais
Moi aussi
Tu crois me connaitre c'est toi que tu découvres et je te vois
Mon cinémafix, c'est ta folie c'est tes envies
Alors dis-moi si tu l'oses Peau~Rose
Responsable de tes grandes pompes
Venues fabriquées pour une miette d'enfant
Vendue à tes yeux concupiscents 1000 ou 100 fois son prix
C'est vrai qu'en bleu c'est mieux
Satisfait fait donc ton petit besoin si important
Bosse Duconduconne et sert bien tes maîtres de raison et ta scie toute chose
Tes mais comme des perles vont alors couler comme des fleuves devenus fous
Qu'un à un je ne devrai décimer que pour laisser place à ton 'autre mais
Jusqu'à ce que de lassitude je me taise où meure pour que tu cries victoire et puisse éventuellement y réfléchir ensuite mais je rêve :

Ton mais scie perverti par tes soins plus fort que moi en cet instant du Temps

Pour qu'une fois encore tu n'aies pas su apprendre ta propre force.
Pour qu'une fois encore tu repartes avec cette illusion de toi
Facette glorieuse que je regarde et jette pour te sourire
Je sais bien que tu n'es pas cela
Toi, le sais-tu?
Si je te dis débile, tu me dis quoi
Petit singe
"Espèce de sale macaque européen que tu es et qui n'a jamais appris à lever le pied."
Disait l'Artaud
Ce qui n'est certes pas gentil pour eux et je m'excuse de cette répétition

Les premiers fils sont parfois les meilleurs
Profites-en
Je ne suis pas de bois
Moi qui avait si bien connu la Lulu
Hugh !
~y !
:)
.

samedi 1 août 2009

Quoi de neuf dans les tropiques ?

...des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis aveugles inversées des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis aux acides virulants >>> ce jus de tes actes >>> des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis des fourmis... Et puis des humains, des animaux, des êtres vivants, des plantes aux mille feuilles, aux mille formes. Des cieux comme nulle part ailleurs, des mers bleues comme des océans, des roches à dire bonjour aux Dieux, des fonds à rêver mille ans. Il fut raisonnablement décidé par des gens trèèèèès intelligents que cela représenterait 20% d'intérêt.

Fichez moi la Paix !

Il existe parfois des points de non-retour
Qui eurent lieux sans plus à voir
Où les larmes ne serviront à rien
Où il faudra dire Adieu à tout ce Monde
Parce que trois fois c'est déjà beaucoup
Tant de fois ma Voi exprimée
Dans les fureurs et les égarements de ton temps
Adieu ?
Pffff
Tu sais même pas ce que ça veut dire
Tu te rends compte de rien...

Humaniste ! :)))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))(-))))
Humanité ! :))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))(0))))

Que pour ta gueule à chaque fois
Y a que ça qui germe
Où tu crois que tu vas arriver ?

Gave-toi bien
Suave le gout de tes fruits
Tisse tes voiles pesants cordages

J'en ai soupé de toi et de tes
profondes insanités

J'ai appris à tailler dans ma chair et dans mes fibres
Te voila libre.
Comme le vent



Tu n'auras plus à rougir de ton courage
Edifié par des mots de pacotille
Si je te dis que je n'écrirai plus chez toi
Comprendras-tu mes mots ?

Eh ! Toi là-bas



Oui Oui toi

Qui venait avec ta joyeuse étiquette
Que je mets en rectangle blanc
Parce que j'ai pas coché réservé aux adultes
Sais-tu comme dans mon rien
Résonnait la violence de tes propos ?
De tes attitudes
De tes jeux
De tes lieux où tu répétais tes tares
Te meurtrissant tous demains

Inlassablement

Je n'avais même pas à compter jusque trois
C'était comme d'étranges papillons
Prêts à éteindre toute lumière
A manger toute vie
Si je ne savais pas que cela n'aurait servit à rien
Parce que cela s'est déjà produit
Qu'il ne faut pas le refaire
Je te l'aurais peut-être déjà donnée

"Mon" chat y sourit quand y dort :)
On raconte qu'ils sont tous reliés entre eux
Je ne suis pas aveugle

vendredi 31 juillet 2009

Où tu vas quand tu marches ?

Tout le monde a peur de la mort.
Nous n'en savons rien.

De cet inconnu s'élèvent des monticules humains qui ne sont que croyances palliatives
Des cathédrales de mots aux origines perdues et tues par le bruit des vivants et des gourous
La peur de cet inconnu que nous associons
à tout autre inconnu

Nous en traquons des fils rassurant jusqu'à l'invraisemblable chimère soudainement devenue vraie de la moindre conjonction aboutie et
Marquant nos pas au fer rouge de folies profondes et absurdes

Accepter son ignorance, c'est accepter l'autre
Son ignorance à Lui

Pour qui tu te prends ?

C'est voir la mort comme les enfers traitrises chairs arrachées tromperies enculés pourris, nazes ou
C'est voir l'autre comme un vierge jardin de
Mille fleurs possibles là où une seule te suffirait bien

Tu vas où quand tu marches ?




Et petit à petit plus rien n'a d'importance
Le bonheur n'est plus qu'une vieille peau
Que l'on aurait pas vu partir au vent
L'amour, nous avions bien encore quelques lueurs
D'y penser les fit disparaitre lucioles avalées

Tu regardes ta nuit et c'est ta vie que tu vois

Je t'y accompagne sans crainte,
si tu veux

J'attendrai de ces chemins où tu vas te piquer
De ces chemins où je vais compter tes tours
De ces chemins où je n'ose te dire la joie que tu me donnes
De ces chemins où chacun de mes "tu es ..."
En plie mille arrivées




Cette nuit où caressant les rives d'une fin
Tes désirs si fluets s'effacent comme à jamais
Tes connaissances en ultimes boulets
Etranges résonances d'un monde sans jus


Parce que te connaissant,
tu es bien foutue d'y rebondir comme en 14 ! :)))

Pump !
Heuuuu je voulais dire
Hugh !
~y
:)
.

jeudi 30 juillet 2009

Point de vue



C'était quoi finalement cette idée de partage
De don d'amour
Personne n'en voulait
C'était clair
Il entendait mille rêves de guimauve
Des rêves auxquels personne ne croyait
Cela leur suffisait

Bien sûr ils pleuraient
Buvaient leurs larmes
Disaient le monde est laid

C'était toujours la faute de l'autre
Etres dépossédés de leur propre image
Il s'y croyaient forts jusqu'à tuer
Jusqu'à mourir
Folles visions de justices profitables
Le sang coulait creusait des terres
Des terres contaminées de leur non-droit
Des terres à l'approche du non-retour

Comment pouvaient-ilL supporter cela ?
Comment pouvaient-ilL regarder cela ?

Ils étaient sans valeur d'eux-même
Naviguaient sur des tapis d'illusions
Surfaient entre des cris d'agonie

Les machines broyaient sans fin
Pourrissant toutes matières
Berçant le confort de leur nuit
D'infinies volutes sulfureuses

l'humanité vivait là sa pire période d'obscurantisme.
Alors même que enfin et pour la première fois de son histoire, elle avait en mains l'outil de sa réalisation possible et qu'elle ne le voyait pas



Pendant ce temps là, tout tranquilou,
Les philosophes, les écrivains, les artistes, les politiques, bref les matamores de tous poils bouffaient les miettes d'un monde en perdition dans leurs camisoles dorées et se congratulaient de leurs génies réciproques.

N'est-ce pas, Mr Comte-Sponville ? http://www.ipernity.com/blog/martello/147569 Lui, je crois même qu'il se gère tout seul :)))
Autant te dire que s'il se réveillait, ça ferait bon bruit dans les sphères :)

Ils ne supportaient évidement pas que quelqu'un puisse les voir dans leurs motivations profondes. Ils y avaient développés beaucoup d'armes. Ils ne voyaient pas jusqu'où elles les mutilaient de ces instants de charlatan aux lendemains en chantant la mort.
Youpillé et goupille you pis you pillé
Moi non plus d'ailleurs, si tu crois que je peux me souvenir de toutes ces douleurs, tu es bien imaginatif là où une en vaut mille et que ça attire les pommes :)))

Si j'étais un rongeur au piège, je crois que je déchirerais ma chair avec les dents pour rester libre et vivant. Je dis ça parce que je le beau bien. Faut quand même se méfier de ce que l'On dit, le "destin" est très coquin. Surtout avec les prières cachées sous des turlutes à 5 balles, parce que l'univers lui, je crois qu'il fait très attention à ce que tu veux vraiment :))) On dirait même que ça attire les pommes !



Ca me donnait comme un gout de kéképom acidulé entre les dents :)))
Merci Vincent! :)

Pomme pomme Pump !
Oups !
Ben~y !!!

~Eric!

Grummpfjkfgjg fdlgfgj, c'est juste pour expliquer, c'est nouveau blog ici :)))

Si l'envie de me mettre des éclairs lui prenait le clavier...
Je pourrais même lui passez les codes d'ici, qui sait? Changer le titre, les textes, les codes quoi d'autre ?

Tu sais pourquoi je te dis tout ça?
C'est parce que je viens de perdre une dent devant et que ça me fait une sacrée tête de pirate quand je rigole.


C'est qui le petit jeune qui chante ?

Je dis petit jeune parce que aujourd'hui, à 65 piges, t'es encore jeune dans la plupart des cas.
Jeune et con, of course.
Je ne vise évidement aucun homme/femme politique en particulier ni en général.
Suis pour l'espace con sensuel moi :)))
Plus que tu le crois je parie
~y !
:)
.

Un pas, encore un pas

Entre les lignes