Nous n'en savons rien.
De cet inconnu s'élèvent des monticules humains qui ne sont que croyances palliatives
Des cathédrales de mots aux origines perdues et tues par le bruit des vivants et des gourous
La peur de cet inconnu que nous associons
à tout autre inconnu
Nous en traquons des fils rassurant jusqu'à l'invraisemblable chimère soudainement devenue vraie de la moindre conjonction aboutie et
Marquant nos pas au fer rouge de folies profondes et absurdes
Accepter son ignorance, c'est accepter l'autre
Son ignorance à Lui
Pour qui tu te prends ?
C'est voir la mort comme les enfers traitrises chairs arrachées tromperies enculés pourris, nazes ou
C'est voir l'autre comme un vierge jardin de
Mille fleurs possibles là où une seule te suffirait bien
Tu vas où quand tu marches ?
Et petit à petit plus rien n'a d'importance
Le bonheur n'est plus qu'une vieille peau
Que l'on aurait pas vu partir au vent
L'amour, nous avions bien encore quelques lueurs
D'y penser les fit disparaitre lucioles avalées
Tu regardes ta nuit et c'est ta vie que tu vois
Je t'y accompagne sans crainte,
si tu veux
J'attendrai de ces chemins où tu vas te piquer
De ces chemins où je vais compter tes tours
De ces chemins où je n'ose te dire la joie que tu me donnes
De ces chemins où chacun de mes "tu es ..."
En plie mille arrivées
Cette nuit où caressant les rives d'une fin
Tes désirs si fluets s'effacent comme à jamais
Tes connaissances en ultimes boulets
Etranges résonances d'un monde sans jus
Parce que te connaissant,
tu es bien foutue d'y rebondir comme en 14 ! :)))
Pump !
Heuuuu je voulais dire
Hugh !
~y
:)
.
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